Famille Sabourin « 1776 Heritage » – Le premier vin au monde élevé en barriques miniatures
Posté le 21/09/2025
C'est une première mondiale qui pourrait révolutionner l'élevage du vin : intégralement élevé en barriques miniatures de 20 litres, la top cuvée « 1776 Heritage » de la Famille Sabourin s'inscrit à contre-courant de la tendance actuelle qui est aux grands contenants. Les fûts de 300 litres et 400 litres sont en vogue, ainsi que les amphores, avec un intérêt croissant des producteurs pour y faire des fermentations ou des élevages moins marqués par le bois. La tradition à Bordeaux est pourtant celle de la barrique en chêne de 225 litres. La Famille Sabourin, au contraire de suivre les tendances, préfère imprimer sa marque. Nous employons donc pour notre cuvée hors norme « 1776 Heritage » des fûts que l'on peut qualifier de miniatures : ils sont en effet 10 fois plus petits.
Quel est intérêt d’élever un vin dans une barrique miniature ?
Une surface de bois en proportion plus importante, eu égard au faible volume de vin, assure une action du bois plus rapide. Afin d’être capable d'accueillir cet apport tannique et aromatique tout en conservant son équilibre, le vin de cuve destiné à ces mini-fûts doit être d'une qualité exceptionnelle. Le résultat final est un vin fin absolument hors classe : plus d'ampleur, de gras et de complexité, marqué par une identité et des arômes très nets pour une signature unique.
Quelle est l'origine du nom « 1776 Heritage » ?
La Famille Sabourin trouve ses racines viticoles en 1776 et a tissé des liens avec les Etats-Unis d’Amérique, dont c'est aussi la date d'indépendance. « 1776 Heritage » célèbre donc à la fois notre date fondatrice commune et l'amitié entre nos deux pays.
¤ PHOTO MINI BARRIQUE / INSCRIPTION FRONTALE avec nom tonnellerie ALLARY visible ¤
Comment est venue notre idée d’utiliser des fûts miniatures pour élever un grand vin ?
Alexis Sabourin a commencé à mener des expériences concluantes sur des barriques miniatures dès 2010, alors qu'il finissait ses études. Afin de convaincre son père de faire une cuvée parcellaire de qualité supérieure, un mini-fût de 10 litres lui paraissait pratique par sa taille pour exécuter seul ce projet entièrement manuel (récolte, tri, foulage, etc). Leopardus est né suite à cette expérience. La Famille Sabourin a alors constaté l’apport incontestable des mini-fûts à travers des expériences conduites notamment en 2011, 2013, 2014 et 2018. Depuis, nous avons encore renforcé nos certitudes. Pour « 1776 Heritage », le fût de 20 litres présente moins de risques de déviations acétiques que son petit frère de 10 litres, tout en conservant les avantages d’un élevage en fût miniature.
L’usage des barriques miniatures : une véritable innovation mondiale
Elever du vin dans des barriques miniatures est tout simplement une première mondiale. Ce mode d'élevage est en effet inédit pour élever du vin dans un cadre professionnel. Malgré la plus-value œnologique indiscutable que nous avons constaté, la filière viticole s'est jusqu'ici servie des barriques miniatures uniquement comme simple outil d'appoint ou objet décoratif de prestige. La barrique de 225 litres s’est imposée pour plusieurs raisons.
Historique : Le tonneau anglais (environ 1.000 litres) était jadis l’unité de base du commerce maritime transporté en fûts de grande contenance sur les galions. Dès le Moyen-Âge, en divisant ce volume par quatre, la barrique bordelaise (225 L) devient un démembrement pratique du tonneau anglais, pensé pour les échanges transatlantiques et fluviaux.
Technique : Un volume réduit implique un risque accru pour son contenu car il est plus fragile face à l'oxygène et aux variations de température, impliquant donc un suivi ultra-rigoureux lors des fermentations alcoolique et malolactique, puis lors de l’élevage. Cela implique également bien plus de manipulations.
Economique : Un petit fût est proportionnellement beaucoup plus onéreux qu'une barrique classique, or toute activité économique est guidée par des considérations d'optimisation des coûts. La viticulture n’échappant pas à cette règle, élever sa production dans des barriques miniatures apparait comme un non sens.
Notre pratique est donc très innovante – pour ne pas dire disruptive et révolutionnaire. C'est un véritable travail d'orfèvrerie vinicole, réservé uniquement à un nectar faisant déjà figure à nos yeux de joyau brut ultime. Ainsi, respectueux de notre histoire, maîtrisant l’aspect technique et affranchis de la contrainte économique, nous poussons notre objectif de qualité à son paroxysme.
Allary : une tonnellerie artisanale d’exception, spécialiste des petits contenants
Un joyau mérite un écrin digne de ce nom. Le tonnelier naturellement sélectionné pour l’élevage de « 1776 Heritage » est la maison familiale Allary. Avec notamment 6 titres de Meilleur Ouvrier de France, son excellente réputation n’est plus à faire. Elle sélectionne ses bois dans les meilleures forêts de chêne français, comme celle de Tronçais. La tonnellerie assemble chaque année de nombreux fûts de 225 litres de grande qualité, dont on retrouve une bonne part dans les meilleurs crus bordelais. Allary se distingue aussi par une production de tonnellerie d’art, décorative. Enfin, elle se détache surtout à nos yeux par sa production de fûts miniatures dont nous avons pu apprécier la qualité dès le millésime 2010.
Le Château de La Grave : un partenariat avec le plus beau vignoble de son appellation
« 1776 Heritage » est élaboré en partenariat avec le Château de La Grave, avec lequel la Famille Sabourin travaille en toute confiance depuis plus de 10 ans pour produire son Leopardus. A nos yeux, il s’agit de la plus belle propriété des Côtes de Bourg, appellation déjà connue pour le fameux Roc de Cambes de la famille Mitjaville (également propriétaire du Château Tertre Roteboeuf, Grand cru classé de Saint-Émilion). Le Château de La Grave, jadis résidence médiévale du gouverneur de Bourg, est depuis plus d’un siècle dans la Famille Bassereau, avec laquelle nous avons noué un lien de confiance et d’amitié.
Philippe Bassereau est un excellent vinificateur qui a fait sa formation en viticulture et œnologie aux côtés de certains des meilleurs techniciens bordelais. Idéalement situé parmi les plus beaux coteaux de la rive droite de Bordeaux, le domaine bénéficie d’un sol d’argiles et de graves rouges, riche en oxydes de fer et naturellement bien drainé. Ainsi, le Château de La Grave réunit toutes les conditions pour produire ensemble un vin absolument hors norme. Alexis Sabourin considère que ce domaine est le joyau de son appellation. Un tel partenaire était donc un choix naturel pour produire notre bijou. Elevé en fûts miniatures de 20 litres, 1776 Heritage correspond à un véritable travail d’orfèvrerie vinicole.
1776 Heritage : un rendement digne d’un Premier Grand Cru Classé, autour de 20 hectolitres par hectare
L’élevage en barrique n’a d’intérêt que s’il permet de mettre en valeur les qualités du vin. Si celui-ci est trop léger, il sera dominé par le bois. Tant sur le plan gustatif en dissimulant le fruit que sur le plan tactile où la sensation sera gâchée par une astringence excessive. Alors que les cahiers des charges des appellations bordelaises autorise généralement de produire du raisin avec un rendement de 50 à 60 hectolitres, nous considérons que qualité et quantité s’excluent mutuellement et que la recherche de l’excellence impose de viser délibérément un rendement faible.
A cet égard, parmi les vins de Bordeaux, les Grands Crus Classés de Bordeaux représentent un exemple digne d’intérêt. Nous y reviendrons plus loin également, mais les tous meilleurs vins sont généralement issus de raisins produits dans un rendement contenu volontairement entre 20 et 30 hectolitres par hectare. Ce qui passe par une taille plus sélective, afin de laisser moins de bourgeons et, au final, moins de grappes par pied de vigne. Les raisins moins nombreux ainsi obtenus bénéficient pour autant du même apport nutritif racinaire, et sont naturellement plus concentrés en arômes et en tanins.
C’est ce type de vin d’excellence que nous cherchons à produire, en nous inspirant des meilleurs crus de Bordeaux. L’influence du bois étant plus forte avec une barrique miniature, le vin qui est destiné à suivre son élevage dans celle-ci doit être d’une qualité hors norme. Ainsi, 1776 Heritage est issu d’une production de raisin limitée à 20 hectolitres par hectare.
Dégustation : un goût unique – « 1776 Heritage » vous conviera à un moment de méditation
« 1776 Heritage » est l’aboutissement d’une vision d’excellence, construite depuis 2010 par plus d’une décennie d’expériences en barriques miniatures signées Allary, artisan tonnelier d'exception, et portée par une connaissance intime des vins du Château de La Grave réalisés par Philippe Bassereau depuis sa première vendange en 1990.
Chaque millésime écrit sa propre histoire et l’année 2025 s’annonce déjà exceptionnelle, façonnée par une météo idéale. A l'heure où démarrent des vendanges exceptionnellement précoces au début du mois de septembre, les baies gorgées de soleil sont de petite taille, annonçant toute la concentration désirée. Cette promesse, conjuguée à nos expériences passées, nous offre aujourd’hui un premier aperçu précis de l’identité singulière de notre vin.
« 1776 Heritage » : Un vin à goûter au moins une fois dans sa vie
Le millésime 2025, en cours d’élevage au moment où nous rédigeons ces lignes, est une édition ultra-limitée à seulement 500 bouteilles.
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Quelles sont, dans l’histoire du vin, les grandes innovations et révolutions précédentes ?
Avec 1776 Heritage, notre approche est de concilier tradition et innovation. Rendons à César ce qui appartient à César : ces derniers siècles, la filière viticole doit tous les grands progrès techniques et œnologiques mondiaux aux Grands Crus de Bordeaux. Ceux-ci sont parfois taxés de conservatisme, c’est un faux procès : la Famille Sabourin s’inscrit bien dans la continuité de l’innovation et de l’exigence bordelaise. Car l’un ne va pas sans l’autre : chaque innovation a eu pour but d’améliorer la qualité des vins.
Au XVIIe siècle, le Château Haut-Brion (AOC Pessac-Léognan) est à l’origine de la création du vin rouge de qualité tel qu’on le connaît aujourd’hui, alors que les vins rouges d’alors étaient pâles et ressembleraient à notre actuel Clairet de Bordeaux. Haut-Brion est aussi le premier château bordelais à utiliser la barrique bordelaise de manière standardisée (225 L). Egalement le pionnier de l’élevage moderne à Bordeaux, c’est donc tout sauf un hasard si ce domaine est le seul à figurer dans deux classements : 1er Grand Cru Classé en 1855 et Cru Classé des Graves.
Au XVIIIe siècle, le Château Margaux (AOC Margaux) met en place des sélections parcellaires. Le fait que ce soit une pratique courante aujourd’hui a tendance à faire oublier que c’est un véritable progrès, à une époque où nombre de producteurs vinifient ensemble raisins noirs et blancs ! Ce domaine est aussi l’un des premiers à intégrer des pratiques d’hygiène strictes en chai, grâce au Marquis de la Colonilla. Château Margaux revendique également la pratique d'un second vin "Château Margaux 2e vin" dès le XVIIe siècle (!) qui prendra le nom de Pavillon Rouge en 1908.
Au début du XVIIIe également, Château Lafite Rothschild (AOC Pauillac) est l’un des premiers grands crus à avoir structuré son vin selon le concept de parcelle à parcelle, garantissant une régularité et une finesse exceptionnelles dans le vin final : chaque parcelle de Cabernet Sauvignon, Merlot ou Petit Verdot était choisie pour sa typicité et son potentiel aromatique. Cette méthode préfigure le concept moderne des grands vins de terroir. Les vins de Lafite sont d’ailleurs envoyés à la cour de Versailles. Appréciés par Louis XV et ses conseillers, l’appellation “vins du roi” n’est pas qu’un titre honorifique : c’est un vrai tremplin commercial, qui fait connaître Bordeaux à toute l’Europe.
A la fin du XVIIIe siècle, Château Latour (AOC Pauillac) se fait connaître sur les marchés européens mais aussi américains, devenant l’un des premiers Bordeaux à jouir d’une renommée véritablement mondiale. Dès le XIXᵉ siècle, Latour voir son prestige grandir grâce à la constance et à la puissance de ses vins, séduisant les amateurs et négociants internationaux. De fait, Latour distingue déjà un second vin afin de réserver ses meilleurs lots à la production du Grand Vin du domaine. Les Forts de Latour est, bien que fort longtemps après le 2e vin de Margaux, un des premiers « second vin » à apparaître. Chez le voisin Lafite, Les Carruades apparaissent à la fin du XIXe siècle. Ainsi, le Château Mouton Rothschild, également à Pauillac, n’a rien inventé avec son Mouton Cadet qui apparaît dans les années 1930.
En 1924, le Château Mouton Rothschild (AOC Pauillac) est en revanche connu comme le premier à embouteiller 100 % de sa production au domaine. L’usage était pourtant alors de confier celle-ci aux négociants. La mise en bouteille au château a permis d’assurer l’homogénéité du vin, celui-ci étant mis en bouteille dans les mêmes conditions. Autrement, il y avait autant de mises que de contrats avec un négociant. Dès 1945, ce cru de Pauillac est aussi le premier à faire dessiner ses étiquettes par de grands artistes (Chagall, Picasso, Miró…). Enfin, la modernisation de son chai avec l’architecte Arnaud Boulain dans les années 1970 allait inspirer tout Bordeaux et bien au-delà.
Notons que la Famille Sabourin (alors Guilleau-Gastaud à Cars) pratiquait également la mise en bouteille de sa production au domaine au lendemain de la Première Guerre Mondiale, quelques flacons millésimés à la craie en témoignant dans la vieille cave de notre chai.
Au milieu du XIXe siècle, sur l’autre rive, Château Cheval Blanc (AOC Saint-Emilion Grand Cru) est un pionnier du drainage des sols pour améliorer la maturation des raisins. Notons que le propriétaire d’alors, Monsieur Fourcaud-Laussac, est un ancêtre direct d’Héléna Sabourin, la mère d’Alexis. Son autre grande décision fût d’imposer le Cabernet-Franc comme cépage principal du domaine, un choix alors unique qui permis de distinguer son cru des autres, en lui conférant une signature gustative propre marquée par ce cépage très élégant.
Au XXe siècle, on voit apparaître dans le Médoc, notamment à Margaux, plusieurs chais gravitationnels modernes, conçus pour réduire les manipulations et préserver le raisin. Dans notre village de Cars, à côté de Blaye, le chai construit par nos ancêtres Guilleau-Gastaud en 1905 est un des plus innovants pour l’époque. Dans le Médoc, on peut en visiter un encore en activité au Château Desmirail à Margaux, Denis Lurton étant heureux de faire visiter lui-même les lieux.
Citons aussi Château d’Yquem (AOC Sauternes) qui est considéré comme un laboratoire de rigueur œnologique dès le XIXᵉ, en particulier pour avoir perfectionné et popularisé le tri successif des baies pour botrytis.
Dans les années 1950, Petrus (AOC Pomerol) est célèbre pour plusieurs innovations et choix qualitatifs qui ont marqué l’histoire du vin. Alors que le Cabernet Franc et le Cabernet Sauvignon dominaient le bordelais, Pétrus a fait le choix d’un Merlot quasi exclusif sur son terroir argilo-graveleux, produisant un vin rond, dense et accessible jeune, mais capable d’une grande longévité. Depuis longtemps, le domaine pratique une sélection de raisins extrêmement rigoureuse, privilégiant la qualité à la quantité, ce qui est à la base de son style concentré et puissant.
Petrus a su adopter également très tôt des techniques de vinification innovantes (élevage en barriques neuves limité, contrôle précis de la température, micro-oxygénation) tout en restant fidèle au terroir. Le rendement retenu est très faible, souvent plafonné à 30 hl/ha, ce qui permet de concentrer le fruit et les arômes. En bref, Petrus a montré qu’un Merlot parfaitement adapté au terroir, combiné à une rigueur extrême et à des techniques modernes, pouvait produire un vin iconique capable de rivaliser avec les plus grands crus classés.
À l’image de Petrus, qui a fait la démonstration qu’un terroir parfaitement compris et un cépage choisi avec rigueur peuvent donner naissance à un vin iconique, 1776 Heritage poursuit cette quête d’excellence. Ici, l’innovation réside dans l’élevage en barriques miniatures : une technique unique au monde qui concentre le goût et la complexité, offrant un vin au style inimitable et à l’expression pleinement maîtrisée, à la fois puissant et élégant."
Dans les années 1970‑1980, plus près de nous, citons encore l’apparition des vendanges en vert notamment par Château Margaux et Château Mouton Rothschild, qui cherchaient à améliorer la concentration et l’équilibre aromatique de leurs vins. L’effet est un vin plus intense, structuré et aromatique, tout en maîtrisant les rendements.
Bien avant les années 1980, en évoquant les rendements, Château Ausone (AOC Saint-Emilion Grand Cru) a été reconnu pour sa rigueur parcellaire et ses rendements très faibles, souvent en dessous de 25 hl/ha, alors bien inférieurs à la moyenne bordelaise. Pour comparer, le vin du cru le plus célèbre de Bourgogne, Le Domaine de La Romanée-Conti, est généralement issu d’un rendement visé autour de 20 hl/ha. Cette maîtrise extrême du rendement permet une concentration exceptionnelle des arômes et des tanins, garantissant des vins très puissants et raffinés, capables de vieillir des décennies. L’innovation d’Ausone réside aussi dans son attachement au terroir et à la sélectivité parcellaire, démontrant qu’un rendement maîtrisé est un facteur clé de qualité.
Enfin, un mot s’impose sur les vins de garage, innovation précédente dont l’élevage en barriques miniatures est une sorte de continuité intellectuelle. Nés dans les années 1990 avec Le Pin (Pomerol) puis Château Valandraud (Saint-Émilion), ces vins sont produits en très petites quantités (“small is beautiful”), souvent issu de parcelles minuscules et tri rigoureux des raisins, vinifiés avec des méthodes très soignées, parfois en micro-cuvées. Ces petits domaines ont alors d’ailleurs été parmi les premiers à pratiquer les vendanges en vert dans le Libournais. L’idée maîtresse : maximiser la qualité et l’expression du terroir, même si cela implique des coûts très élevés et une production limitée. Ce mouvement a montré que l’excellence pouvait naître d’innovations radicales dans les pratiques de vinification.
Tous ces noms prestigieux ont un point commun, en plus d’avoir véritablement marqué l’histoire du vin par une rupture technique ou culturelle : ce sont tous des Premiers Grands Crus Classés, hormis Petrus et Le Pin (Pomerol n’a pas de classement officiel) et Desmirail étant 3ème Grand Cru Classé, prouvant qu’ils méritent leur rang.
1776 Heritage, en tant que premier vin au monde élevé en barriques miniatures, est ainsi l’héritier de cette tradition d’innovation qui a fait la grandeur de Bordeaux. De Haut-Brion à Cheval Blanc, de Lafite-Rothschild à Ausone, en passant par Margaux, Latour, Petrus et Mouton-Rothschild, pour ne citer qu’eux, les grands crus bordelais ont toujours su allier tradition et innovation : vin plus foncé, drainage des sols, second vin, vendanges en vert, ou encore vins de garage consacrant le “small is beautiful”.
Avec 1776 Heritage, la Famille Sabourin perpétue cette lignée : « 1776 Heritage » est le fruit d’un savoir-faire audacieux et résolument novateur, tout en respectant l’exigence et l’élégance qui caractérisent Bordeaux depuis trois siècles. Premier vin au monde élevé en barriques miniatures, notre vin offre une nouvelle expérience gustative à ce jour unique au monde.
« 1776 Heritage » : le premier vin au monde élevé en barriques miniatures
Le millésime 2025, encore en cours d’élevage au moment où nous écrivons ces lignes, est une édition ultra-limitée à seulement 500 bouteilles.
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